À l’heure ou le procès des attentats de 2015 s’ouvre, le notion de « droit au blasphème » fait son retour.
Pourtant, cette notion ambiguë qui s’adresse dans ce contexte essentiellement aux musulmans, n’est pas sans reproche.
En effet, plutôt que de penser le « blasphème« , il faut davantage penser le « sacré« . Et du sacré, tout le monde en a y compris la « République », et il n’est pas critiquable…